La newsletter Biocoop

Restez informé de nos promotions, actualités et événements en magasin

inscrivez-vous
09 83 50 30 09
logo Biocoop
Biocoop Le Monde Allant Vert
Mes courses en ligne

Publirédactionnel : Phare d'Eckmühl

Publirédactionnel : Phare d'Eckmühl

Le 31/05/2016

Pour Biocoop, les fournisseurs sont avant tout des partenaires. C’est pourquoi, il nous paraît intéressant de mettre en avant l’histoire de certains d’entre eux avec qui nous avons à cœur de travailler… Retrouvez ici l’histoire de la famille Chancerelle, fondatrice de la marque Phare d’Eckmühl.

La conserverie Chancerelle, fondée en 1853 à Douarnenez en Bretagne, est la plus ancienne conserverie du monde. Cette entreprise familiale toujours à la recherche de qualité, a vu comme une évolution naturelle le passage à la bio au travers de sa marque Phare d’Eckmühl.

 

Une famille de Douarnenez

Robert Chancerelle rachète en 1853 une conserverie de sardines à Douarnenez. En 1988, six générations plus tard, Eric Chancerelle prend le relais aidé de ses beaux frères Antoine Peigné et Edouard Paulet.

Rester implanté à Douarnenez est onéreux mais c’est un choix délibéré : 90% des conserves Phare d'Eckmühl sont ainsi fabriquées en Bretagne. Dans une région où il ne reste plus qu’une quinzaine de conserveries sur 230, l’entreprise permet, à son échelle, de sauver des emplois et une activité locale et traditionnelle. Chancerelle est aujourd’hui le numéro 3 de la conserve de poisson en France et emploie un peu plus de 500 personnes.  Entre tradition et modernité, l’entreprise a su franchir une nouvelle étape avec l’arrivée d’un nouveau PDG salarié en 2010. Cette petite PME familiale reconnue pour la qualité de ses conserves de sardines, s’est muée en ETI avec des méthodes de travail encore plus efficientes. La marque vise aujourd’hui l’export pour se développer et est déjà présente en Belgique, en Suisse et en Allemagne.

La qualité des produits avant tout

La signature Phare d’Eckmühl? La qualité Phare d’Eckmühl est l’expert dans la sélection du meilleur poisson, péché au meilleur moment de la saison. L’entreprise se distingue aussi par les très nombreux contrôles tout au long de la fabrication de ses conserves.L’entreprise est ainsi à l’origine de la norme « Conserves de sardines préparées à l’ancienne », c’est à dire à la main! Sans compter que les accompagnements sont exclusivement issus de l’agriculture biologique.

Une entreprise respectueuse du savoir-faire humain

Une des forces de Phare d’Eckmühl est aussi son savoir-faire transmis de génération en génération. En 2013, sur les 370 salariés présents, plus de la moitié avait été embauchée avant les années 2000 : C'est ainsi que le savoir-faire se transmet ! Et malgré un travail reconnu comme pénible sur les lignes de fabrication, les employés sont attachés à leur entreprise. L’entreprise est aussi aux côtés des pêcheurs avec qui sont passés des contrats d’achat à l’année avec des prix fixés au préalable et des engagements sur les quantités. Les « bolincheurs », véritables partenaires de la conserverie, respectent un cahier des charges très précis, qui va de la taille, de la température à l’aspect des poissons. C’est alors le savoir-faire des marins qui joue : car si dans un même banc, les poissons ont toujours la même taille, le banc n’a pas le même aspect selon la taille du poisson.

 

La préservation des ressources naturelles à la base de la pérennité de l’entreprise

L’entreprise est engagée depuis toujours dans la préservation des ressources halieutiques avec des poissons pêchés par des méthodes de pêche sélectives et inoffensives pour les fonds marins : 100% des sardines sont labellisées MSC pêche durable et pêchées à la bolinche, ce petit filet bien moins destructeur que le chalut. 100% des thons sont pêchés à la canne ou  à la ligne, ce qui évite de piéger des dauphins ou d’autres mammifères marins. Une philosophie ? Prélever dans les océans uniquement des espèces pérennes, à taille adulte, tout en diminuant le nombre de prises annexes. Et pour cela ne pas hésiter à cesser le commerce de certains produits si nécessaire ou à l’inverse, diversifier l’offre de poissons pour alléger le poids du prélèvement sur les autres espèces.

Retour